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Faith.

30 août 2016

Le coeur a des connections que même le cerveau ne peux interpréter. 01

J'appréhende. Et peut être pour rien. Peut être n'y a t il aucune raison d'appréhender au final. Peut être, qu'il n'y aura rien, juste une énième déception, car son visage me manque, et le son mélodique de sa voix.
Mais au fond, il y a t il quelque chose à attendre encore?

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16 octobre 2012

Ibitsu - The gazette x Over and over - Three days grace x Comme le monde est grand - Kyo x

Ecrire pour écrire n'est pas intéressant, ni utile. Il n'apporte rien alors, si ce n'est la deception, la lassitude et le questionnement. Qu'écrire si ce n'est n'est pour décrire ces jours ci?
Ce froid mordant piquait jusqu'aux yeux, l'on pouvait presque sentir les délicats mais glacés floconts de neige sur notre peau, la refroidissant qu'encore plus, nous donnant des frissons et des claquements de dents irréguliers et parfois violents.
C'est pour cette raison que XX s'approcha de la cheminé, s'allongeant de tout son long devant, près des flammes crépitants dans l'âtre rutilante de bûches, tantôt sifflantes se consummant. La chevelure étalé sur tout le parterre recouvert d'un tapis sombre, noir et chaud. La chaleur pouvait presque lui toucher la peau, pourtant, elle se fit si indispensable comparé au froid extèrieur que cela semblait atténué la chaleur des flammes. La peau, mise trop longtemps au bord des flammes et de sa chaleur cuisante pouvait cuir la peau, ou la chauffer trop fortement, assez pour qu'à long terme, nous laisse alors une impression de brûlure insupportable et douloureuse. XX ne sentit rien, de peau de givre, la chaleur ne faisait que la bercer dans un sommeil léger et enviable. Un rêve doux, qui, au réveil, l'on ne se rappelle que vaguement s'être endormit, puis nous continuons d'avoir au coeur une impression de bien être, d'avoir une impression plaisante au creu de la tête, s'étant réfugié lorsque nos yeux se sont clos.

En ouvrant alors les yeux, XX pu enfin voir la lueur matinale d'un ciel violacé. L'atmosphère en ce coin ci du pays se faisait plus intense, le ciel, comme d'autres pays, portait un colorage différent. D'un violet s'approchant du bleu de nuit par le haut. Les étoiles presques apparentes encore dans cette partie du ciel.. Les montagnes, par delà la fenêtre, voyait un jour nouveau, mais avait aussi un visage différent. Peut être était ce dû à sa position allongé, les yeux à peine éclos? La vision à demi brouillé, elle les plissa plus afin de pouvoir apercevoir les formes plus nettement. Elles ressemblaient à des bancs de nuages  flottant dans l'air, sans jamais bougé d'un centimètre, ou peut être était ce le cas? Elle n'arrivait pas à bien les voirs, il faisait hélas trop sombre, que cela était de l'intèrieur ou de l'extèrieurs, une chandelle solitaire éclairait la table basse de XX. Rien n'autre n'était appelé à changé ce fait, XX n'en senti pas le besoin. Cette luminosité l'enchantait à merveille, pour ses yeux et son envie de se reposé à tête reposé, avec une atmosphère un peu plus détendu. Elle contempla les flammes, trop longtemps pour qu'elle en ai mal aux yeux. Que les humains puissent être idiots, de faire des choses qu'ils n'auraient pas avoir à faire, si seulement il ne les avaient pas vus avant, lui donnant alors cette envie de le faire tout de même, malgré les dangers possibles, les risques de fautes ou toutes autres conséquences.
Il le fait tout de même, par tentation, par goût de l'interdit et de dépassé ses limites ou les limites imposés à lui. Il le fera même s'il a parfaitement connaissance du risque encourru, parfois pas, parfois il ne pense pas réellement à toutes les possibilités, ou ne pense pas du tout.
Mais alors, il le ferait sous une impulsion, un choc ou une peur, un sentiment qui le presse à prendre la décision promptement et de façon irréfléchie. Je ne dis pense pas du tout car l'on peut ne pas pensé aux conséquences, mais qu'elles sont parfois survolés ou pas évidentes à dicerner, mais il y a un minimum de pensé. De savoir si c'est bien ou mal. Et l'on demande parfois pourquoi, mais l'on voyait une bonne raison peut être. Je me fie à l'idée d'un personne qui aurait tué quelqu'un, braquer une banque ou fait quelque chose dans ce genre. Allez savoir pourquoi la raison.

XX se leva alors, aux premiers rayons du soleil, retournant dans sa chambre afin d'y dormir plus paisiblement qu'elle ne le fit, à l'abri de la chaleur solaire qui l'insupportait, la faisant cauchemarder et s'agiter dans son sommeil. Se posant de façon délicate et furtive sous ses draps, elle fermit les yeux. Ses fenêtres étaient fermés par des rideaux pourpre et épais, permettant de ne pouvoir distingué s'il faisait jourd ou nuit, sinon à la chaleur qu'ils dégagaient en présence du jour, mais cette chaleur était aussi retenue dans des murs de pierres froides et épaisses. Elle s'endormit presqu'aussitôt que d'avoir fermé les yeux, se sentant bien à l'abri sous ses couvertures et derrières ces rideaux.

Elle ne rêva pas, encore une fois. Elle se sentit bien à son réveil, étirant ses bras vers le haut pour lui permettre de bailler. Une fois dans le salon, elle mangea et bû. Elle put sentir les aliments glissé lentement vers son estomac, sans qu'elle eut l'envie de boire, elle le fit mécaniquement. L'eau semblait couler dans sa gorge, le sentant entièrement, de façon presque inconsciente, comme si elle était spectatrice de ce spectable interne, et sentit l'eau s'enfoncer et attérir dans ses tripes. Je ne saurais décrire parfaitement le parcours qu'il emprunterait alors, j'en suis navrée.
Il parcourt un chemin long et sinueux, compliqué et trop ennuyeux. J'ai l'envie de dormir..

xoxoxoxoxoxoxoxoxoxox

 

-Hey salut Zombie !

Le regard pétillant, le visage avancé sur les deux sièges d'un bleu velouté si habituels et usés.. Il regardait la personne qui lui faisait face, un sourire en coin:

-Ca fait plaisir de te voir

Il souriait, le regard dans le vide, choqué et perdu, la personne ne repondit rien, stoïque.

-Tu es un zombie?

Le regard toujours dans le vide, la personne hocha la tête, à demi sûr de sa réponse. Est il un zombie.. ?

 

 



Edit: Je change de blog.. il est déjà créé. Je ne mettrai aucune adresse, de toute façon, ça ne change rien. Je continuerai aussi l'histoire dessus, j'ai l'impression de faire pareil, mais là, c'est qu'au fond, rien ne change. Alors bon.

14 octobre 2012

x A broken glass x Kyo x


Et les portes du temps semblèrent se figé sur le moment, l'infime seconde avant que l'obscurité n'atteigne son unité, enveloppant la pièce entière d'un voile sombre et opaque. Puis il sembla toujours suspendu, la minute que l'on met avant de comprendre où nous sommes alors, ce que nous devions faire, le pourquoi à tout ceci. Nous réalisons et re visualisons la pièce à yeux fermés puis les ouvrons pour pouvoir matérialisé les objets aux alentours et les contournés. Ensuite, vint la reflection, puis ensuite l'action. L'hésitation requise pour un mouvement de pied, et lors qu'enfin nous le faisons, devant cette retenue et cette lenteur, nous tanguons, vacillant sur la pointe des pieds afin d'y trouver un quelconque équilibre.
Enfin nous avançons, à tâtons, en croyant voir des formes là où il n'y en a pas, et d'autres qui existent, que nous pouvons discerner et percevoir, que ça soit de près ou d'un peu plus éloigné.
La gorge à demi serré, demandant de l'eau ou quelque chose qui puisse la sustenté. Suivant l'hésitation encore, le doute, la peur, les choses qui nous prennent souvent bien la tête et nous la monte quelque part de bien éloigné et de rassurant. Pourquoi hésité après tout? Par peur d'une faute, d'un regret, ou même une peur de quelque chose de probable, si seulement ce fut vrai à bon entendeurs.
Je crois que je vais me remettre à écrire, cela faisait longtemps, un temps immensément long que je ne m'étais pas déchainer, dans un déboire d'imagination ou de ressentis, de rêves ou de cauchemars, quelque chose de racontable, quelque chose qui nous donne envie de créé quelque chose, de le bâtir à notre envie, comme un gâteau ou un autre art tout aussi utile que savoureux.
Se prendre à parler culinaire révèle alors une envie de nourriture, aussi savoureuse que quantitative. Quelque chose qui manque aussi, et que nous ne savons pas ce qu'il est, ni sa nature. Peut il être quelque chose comme de la nourriture, palpable, matériel, ou quelque chose autre comme du sommeil, un quelconque besoin particulier. Et cela nous perturbe sans plus que cela, cela passe.. Comme une pluie fraiche et brutale d'un crépuscule que trop sombre.

Des moments comme ceci nous en connaissons tant, des moments où, par une pensée, un fait, nous pensons à certaines façons du passé. Des souvenirs banales, des façons de réagir, de se demandé comment nous étions à ce moment là, pourquoi, comment cela a pu changer et tout un tas de choses encore.
Des choses aussi ténébreuses, des Alices en qui en veut, des tas, des paysages brouillés ou clairs..
Pourtant, le temps n'a guère était doux, ou rapide. Il a mit le temps qu'il a mit, puis il a fait en sorte qu'écrire sur les Alices en soit devenu impossible, tout saccagé. Ou peut être pas, elles existent toujours.
Le cœur qui saute, de joie peut être. Et dans cet élan, que veux tu faire? Faire le mort ou essayé de perpétuer cela en risquant de t'enfoncer que davantage? Alors, encore, l'attente, d'être.. Moins hésitant, moins douteux, moins avoir l'impression d'être au bord de la folie ou d'en avoir dépassé ses limites. Qu'est ce que la folie? Le fait lorsque la pensé dépasse la raison? Toute chose possible et réelle, tout semblant de vérité qui nous raccroche au sol. L'on fait de l'humour en affrontant les autres, on a peur de ne pas être comme ils s'attendent à ce que l'on soit, ouvert et attentif, quelque chose de bien plus concerné et vivant que ce que nous sommes ou serions. C'est ce qui semble après faire quelque chose d'a minima quelqu'un.
Je me perd encore en narration inutile à nouveau, mais qu'est ce qui est vraiment utile en écriture au fond? Le fait d'apprendre, de lire, de s'instruire sur un sujet divers? Ou aussi de se divertir, de rire, de s'évader ou de se vider tout simplement? Trop de questions pour une seule réponse, ou si, mais seulement, cela dépend de son lecteur et parfois, de celui qui écrit. Car il vide ses sentiments, sa tête et son cœur en ces mots, que le lecteur lit par la suite. Et la boucle continue..  Avez vous appris à jouer avec vos sentiments? De parier leur durée ou leur prévisibilité? L'agacement, l'énervement, la tristesse ou la joie? Voir même la souffrance, ou à la contourner aussi.
Mais, de rire en pensant au déroulement de notre vie, de nos choix et nos actes, de réfléchir et se foutre de ce que le présent est.
Peut être que là, je m'emporte un peu trop loin dans cette possibilité, peut être est ce juste ce sentiment qui revient parfois le soir, parmis d'autres, alors, nous les visualisons un à chaque soir, avant qu'ils ne repartent, discrets et insensibles à nos demandes et nos regards.

Que puis je apprendre à quelqu'un qui sait déjà tout? Dans le sens où, il n'y a rien à apprendre de concrets ici ou ailleurs. Je souhaiterai couper le fil de mes pensés quelques secondes si cela pouvait permettre un peu de repit. De ne pas essayer de se visualiser ci ou cela, de ne pas se rappeler qui l'on est, mais qui l'on doit être.
Ce n'est pas faute d'essayer, en vain cela étant, mais de continuer encore avant de s'y enfoncer plus prodondément.

Si je vous parliez de Matt, celui que parfois je reprend pour un plaisir pas plus particulier que lui. Juste banale, dérisoire, inintéressante mais prenante tout de même.
Il n'avait rien encore, parce que je ne vous l'ai pas encore dit. Il était lui, entièrement lui, dans le sens où, il vivait.
Etre sans raison de vivre car l'humain n'en a aucune de concrète et d'unique, il se la donne, car personne ne lui en donnera à sa place. Ni même un Dieu imaginaire ou une personne quelle qu'elle soit, car, on est seul maître de nos envies.
Matt, un personnage plus que dérisoire lui aussi, autant que tout autour de lui, se battant contre la vie, ou l'acceuillait plutot. Chaque chose est bénéfique en elles mêmes. Même un décét, autant ce qu'il est..

"Surtout n'attends pas
Que le monde soit parfait
La vie qu'on a, est ce qu'on en fait
Surtout n'attends rien
De tout c'qu'on t'apprend
Où est le bien
Qui l'sait vraiment?
N'oublie pas qu'on est là
Que d'passage
N'oublie pas qu'on a pas
Tout l'temps"

Je m'arrête ici ce soir, le monde est bien trop accablant autant que ce qu'il est riche et surprenant.

"Et la pluie pour pleurer la terre, le vent pour la sécher. Le regard perdu dans l'immensité vide, perdu entre deux réalités. La raison s'enfuyant peu à peu, le silence couvrant les lèvres d'un voile attachant. Dure, crystallin pourtant. Et rien ne s'arrête..La boucle continue, un cercle de plus en plus vicieux, au fil qu'il tourne et attrape des obstacles, déraillant de tant à autres. Le préssentiment d'un recommencement, et une lassitude et une impression de savoir la suite de tout cela. Encore, comme une vision, un rêve ou plutôt un cauchemars répétitif, long et douloureux, ennuyeux aussi. Le pressentiment qui suit la réalité, encore un voile, encore un effort gacher, un espoir envolé. Les humains ont les sentiments les plus récurrents et prévisibles qui soient, quels qu'ils soient tous. Réduits à de vagues changements, pourtant, ils demeurent ainsi. Cet ennuie mortel, cet ennuie où nous prévoyons alors tout. Bon sang, je ne ferais rien pour arrêter quoi que ce soit cette fois ci, jusqu'au bon moment. Oh mon Dieu, le travail.. "

12 octobre 2012

x What can I say x Bulimiarexia x

Un peu douter permet d'avancer, trop douter fait reculer, peut voir même détruire. Cela peut être une aide ou une bombe à retardement qui peut exploser à n'importe quel instant, n'importe quelle pensée, sur n'importe quelle peur. Elle peut même eclaté lorsque tout se passe pour le mieux, et sa vague de déferlement, son onde de choc peut parfois tout rasé, tellement elle est forte, tellement son emprise s'étend et les sujets qu'elles touchent s'effondrent alors. Ce n'est pas que ça soit voulue, mais la force qu'elle prend et selon son importance, selon la mentalité de celui qui doute fait beaucoup de choses.




" Dans la salle de regroupement, au fil de nos pas si ordonnés et synchronisé, batallons en marches, réguliers et unis. La voix en écho au loin déclarant: "... si jamais vous jugez ou voyez quelque chose d'anormal ou une situation, appellez nous, battez vous"
Du mensonge, de la politique et des guerres. Ceci fut ce monde là. Où les chats sont parfois aveugles, arrachés de leurs yeux si beaux et grands, par torture pour leurs maitres pendant cette période, car personne n'avait vraiment de familles. Pas vraiment de proche auquel se rapprochait et donc, blesser la personne au coeur comme ceci, par le biais d'un intermédiaire. Alors ils subissaient toutes sortes de torture, par les animaux, privé d'une ou plusieurs parties de leurs corps, voir mort, retrouvé pendu à une guirlande à un arbre, enterré vivant dans un sac dans le jardin du propriétaire, noyé dans la rivière pour les plus cruels. Ils laissaient alors leurs corps sur la rive afin qu'un signalement soit donné et que le propriétaire souffre encore plus. "

J'ai pris une claque, inutile de le nié. Je n'en vois pas l'intérêt. Je vais me coucher pour y réfléchir..

11 octobre 2012

x Anywhere but here x Imbranato x


Le noir pour le lyrisme et la solitude, le poids de la personne qui le porte. L'effet qu'il produit dans un moment spécial, alors, au premier regard, selon la tenue des épaules, de la stature qu'il adopte nous montre quel est son émotion première et dominante.
Et quelque part, quelqu'un doit sans doute pleurer, ou crier, ou faire n'importe quoi qu'il puisse, manger, boire, dormir, s'enfuir.. Car à tout moment quelque chose de nouveau se passe et de similaire, à chaque seconde.
Tout construire et tout détruire, puis avoir au fur et à mesure, de plus en plus du mal à le faire aussi rapidement qu'avant. Le coeur qui ne suit pas, il ne veut pas. Ni la tête, ni l'envie d'être à l'état normal encore. D'agir auquel cas, l'abandon serait présent. Par devoir moral, non pas cela de la force car la force est la volonté de se battre, là, l'on pourrait appelé ça une lancitude aigü à changer ses habitudes en pensant que ça ira un jour ou que nous aurons tout construit à nouveau. Construire, sa personnalité, ses pensés, comme un enfant perdu le ferait. Alors, tu t'adaptes.. Aux personnes, à ce qu'ils ont l'habitudes de voir de toi, ou ce que tu devrais être. Mais que faire? Toutes choses, comme rire, comme faire n'importe quel détail qui serait significatif, et tu t'enfonces.. A essayer de prendre ces habitudes mais, toi, que voudrais tu?
Enfin bon, nous pourrions parler indéfiniement de tout cela, mais la fatigue se fait sentir. D'avoir été comme un zombi pâle deux jours de suite, ou plus que cela. Mais je ne m'en rappelle plus guère, je ne me rappelle de rien de vraiment attrayant. Je veux partir à tout prix. C'est la seule certitude que j'ai et à laquelle je me raccroche. Le reste est superflue au fond.

Perdre pied, constater, et s'écrié..





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4 octobre 2012

x Ti voglio bene x IMWY - BFS x Last Dance - Dio


Celle que j'adore, à qui je vais affronté le regard compatissant, que diras tu? Que penseras tu dès ce moment? Déclareras tu quelque chose de déplaisant, sans aucun doute. La voix chargé de doutes, de peurs, de douleurs, et ne rien pouvoir y faire, être sans utilité pour une âme en douleur. Voir, des âmes en douleurs. Et tout autour du monde, et tout autour de nous, il n'y a plus que du vide. Comblé par des plaisirs sans lois, sans bien grand intérêt quelconque et particulier, mais toi et moi, on s'y raccroche. Que serait le monde s'il venait à gelé? A crever devant nous? Ririons nous, du haut de ce tas de pierres et de cendres, de ce tas de ruines qu'est devenu ce qui s’étend devant nos yeux désormais? Que ferions nous? Nous amuserions nous de ces cadavres au sol, éteint de vie et ruisselants de sang, de tripes morbides et diversifiés en taille?
Nous délecterions nous du passé que de trop glorieux que nous possédions, avant que tout ne s'écroule sous une décharge psychique? Qu"il n'emporte au loin tout ce qui nous été cher? Le regarderions nous avec des yeux embués de nostalgies en nous demandant à quel moment tout cela a dérapé? Est ce que se fussent nous qui avons pensé et songé au fait est que, rien n'est vraiment important, que rien ne mérite de vivre vraiment. Ces gens, ces paysages, ce monde.. Et alors, que ferions nous? Que faisons nous puisque nous en sommes à ce stade, ma bien aimé? Nous jetterions nous devant les rails d'un train en accélération, et nos corps qui sauteraient en tout sens, les os se brisants avec des bruits bruts et ingrats, dérangeants au plus haut point? Ou regarderions nous l'avancé du temps, le monde qui change, nous avec. Et nous n'avions pas prévu ça, ou si.. Nous l'avions faits, tant de fois.. Nous avions promis, et les promesses n'ont pas suffit à arrêter un barrage qui est en train de cédé à chaque seconde qui passe. Nous regarderions nous avec des yeux de comprises, en se disant que l'autre sait déjà, qu'on n'a pas besoin de le dire pour le savoir. Décelant le secret au creux du regard, là où l'âme peut se permettre de s'exprimer et de crier cette détresse de vivre, ce fardeau que l'on traine, et nous ramasse plus chaque jours encore.. Non.. Enfin oui, nous le ferons, comme à chaque fois, déballant nos secrets comme de pâles cadeaux de fêtes dont nous connaissons déjà l'amertume. Et l'on observera les montagnes qu'autrefois nous nous amusions à gravir, à l'aide de nos pieds et de nos mains, des genoux salis sous la boue des sables doux, reposants sous un ciel à demi voilé par des arbres et des murs aux allures titanesques.

Qu'avons nous raté alors? Quelle est cette étape que nous avons toutes deux manqué? Quel est ce putin de cœur qui ne nous appartiens pas, et que l'on nous a greffer contre notre gré? Qu'il ressente des douleurs, des souffrances qui nous donner le rire, nous allégé d'allégresse et nous donner des ailes? Ces ailes qui nous portait et nous crier ce que nous étions, éclatant la lumière solaire comme s'il ne fut qu'une pierre précieuse à moitier ensevelis sous des rocailleuses, jalousant ces rayons si lumineux.. Dis moi, que diras tu? Que ferons nous?
J'envie la mort, dis moi que ta folie est égale à la mienne, que nul moyen ne suffit à la calmer, à l'apprivoiser et l'endormir au fond de toi.. Dis moi que tu comprend, fait le moi lire dans tes yeux que je chéris, montre moi ton cœur déchiré de la réalité et de tes pensés qui le dépasse et laisse ton corps à l'état de poussière comparé à celles ci. Mon Dieu, ma seule et unique que je me hâte de voir, ne pouvant courir sur le fil du temps qui nous sépare encore de quelques heures, dis moi ce qui te préoccupe, qu'un poids se lève de toi et s'éloigne. Pitier, par pitier, laisse moi m'effondrer encore une fois, et pitier encore... Comme le mois dernier, où l’espoir s'est montré, dis moi encore que tu aimes que je m'effondre sur toi, que nous nous rattrapons mutuellement et que ce n'est pas de la misère ni du pathétisme. Oh je t'en prie, soi mon remède. L’égoïsme ne tue pas, mais te le dire me soulage tant.. Pour un moment, avant que cela ne revienne pire encore, et me donne envie de mourir au plus tôt comme si rien ne fut. Celle que j'aimais, dis moi encore ces belles choses qui font battre le cœur, l'aide à tenir, font monté les larmes aux yeux, je t'en pris.. Crie encore si cela peut te défoulé, pleure même si tu le veux. Ta peine est ma peine, et même si pendant des années nous nous sommes éloignés, n'est pas peur du temps qui à passés, ne le redoute pas car il ne touchera jamais à ce que nous avons batis et les promesses que nous nous sommes faites. Ou si, mais.. Elles sont devenus plus spirituelles. A toi à qui j'adresse les mots et ne le saura jamais, sauf à travers le regard, lis la détresse qui s'y dessine. Lis moi comme un livre que tu aurais voulu lire et déchiffrer.
Peux tu empêcher le soleil de se lever? Peux tu prier avec moi la lune qui devrait resté seule reine du monde et du ciel.
Dis moi, essayeraient ils de te donner l'envie de vivre, et toi, comment réagis tu? Toi aussi, ne leurs réponds tu donc rien? Car ils ne comprendraient pas, au fond, qui le pourraient, sauf toi? On est les mêmes. On partage un cœur.
Dis moi encore, raconte moi ce que nous fûmes par le passé.. Laisse moi encore dormir à tes coté pour ce soir, que lorsque nous nous éveillerons, le monde semblera plus beau que dans nos souvenirs, plus éclatant, plus souriant et plus beau que ce qu'il semble être maintenant.
Je dois sans doute me leurrer, je dois sans doute perdre la raison, ou être que trop morte. Mais je ne peux m’empêcher de me poser ces questions, j'espère que tu n'es pas tombé aussi bas que je le suis. Donne moi une raison de vivre possible et enjoué. Fais tu des confessions en ayant encore le cœur fragile, en te disant que ce n'est rien.?
J'hésite à t'envoyer un message, de te dire que j'ai aussi besoin d'aide, qu'un psy ne fera rien, par expérience.. et que ta folie attise la curiosité et l'inquiétude. Et te dire aussi que cette fois, c'est sérieux et que ce n'est pas quelque chose qui semble compréhensible et curable. Dis moi que nous ne sommes pas condamnés. Rassure moi, je te rassurerais. Mes bras seront ton refuge, mes yeux pleureront pour toi, je te le promet, et ces larmes silencieuses sécheraient dans le vent d'octobre. Et ce vent qui rafraichit tant..
Je veux te voir et t'entendre, te serrer et se fondre ensemble pour complété notre douleur.
Et te rappelles tu de cette chanson que je t'ai envoyer aux environs de avril-mai 2010? Te rappelles tu cette détresse, ce manque qui laisse encore cet arrière gout de passé et de sécheresse d'un cœur en trop mal de vivre ?
Te rappelles tu de ce que nous nous sommes dis? "Can I close my eyes have you lying here again".. Que nous nous quitterions jamais? Peux tu encore me dire que c'est le cas encore aujourd'hui? Je ne suis pas humaine à pouvoir dormir paisiblement lorsque les autres le peuvent. Je me contente alors de vous regarder dormir, vagué à vos doux rêves, les yeux clos.. En vous enviant de pouvoir le faire aussi. Dis moi.. Jess.. Celle qui est si loin.. Peux tu guérir les maux? Que tout ces mots et ces faits ne sont pas resté invisible..? Dis moi qu'ils ont trouvé écho en quelque part ou quelqu'un, que quelqu'un a pu comprendre tout ceci. Dis moi que tu comprend, car je ne comprend pas moi même..

" Je perd en soupire la moitier de la nuit, je somnole, je m'éveille, je me languis.." Tennyson.



Alice In Wonderland:


Sa longue robe d'un rouge sanguins, de pourpre et de douceur s'élevait au rythme de ses pas, de sa course folle vers un endroit sauf. Le monde semblait murmurait, tout autour d'elle, tentant de s'éloigner de ces murmures devenus assourdissants, qui ne semblaient que s'amplifié à mesure qu'elle fuyait vers l'inconnu macabre. Elle ne pouvait discerné par exactitude ce qu'ils disaient, ce qu'ils pouvaient s'échangé comme paroles, mais elle ne pouvait le supporter, cela devenait comme un son hypnotique qui la rendait folle. Ses yeux se brouillaient, roulants dans leurs orbites à une vitesse fulgurante, rendant le terrain tout autour flou, indiscernable. Ni la pleine lune s’annonçant au loin, belle et solitaire, fière et nostalgique..  Ni les arbres morts l'entourant comme des abandonnés de guerres au combat.
Le cœur grelottant de froid, habitant une peur inhabituel, elle accéléra le rythme de ses foulés, devenant incertaine, redoutant de tombé par la suite, mais il fallait qu'elle se sauve.
Sa robe se déchira maintes et maintes fois, peu lui importait, elle craignait pour sa vie.. Mais avant de vous raconter cela à la troixieme personne, pourquoi ne pas visiter le personnage..?

"Ou suis je..?"
Ce fut la première question que se posa Alice la troisième, aux pieds d'un auré plus que redoutable. Le tronc des arbres que je peux voir sont déjà abimés, ils sont morts, pourtant, ils se tiennent encore debout et m’effraie. Pourquoi m'effrayeraient ils?
Regardant à droite, je ne peux distinguer que de l'obscurité, des nappes de nuages brumeuses environnant ce vaste cimetière, et je ne peux retrouver mon chemin.. Pourquoi suis je là? Qu'en est là raison? Vais je mourir..?


Outward :


En l'observant les yeux fermés, emporté par le sommeil, semblant si doux et si paisible sur ce fin petit visage,  pouvais peut être connaître des rêves lourds et durs. Mais, peut être tout simplement qu'elle ne rêva pas, car quelques minutes avant de me réveiller à ses cotés, je dormi d'un sommeil si similaire, que je ne me souvins pas m'être endormie, ni même avoir rêver. Juste un long sommeil pesant et lourd, hypnotique et entrainant, ne pouvant être repoussé. Et elle devait peut être dormir de ce sommeil ci, ayant du avoir une journée longue et fastidieuse. Son t shirt marin la grossissait, assise ainsi, mais je n'en tenais aucune importance, ni à ce moment ci d'ailleurs. Alors, le corps et l'inconscient s'éveillent, se relâchent et laissent tomber sa tête comme si elle fut trop lourde à supporter, puis ils se maintinrent, relevant brusquement la tête vers le haut, comme si elle fut accrocher comme un vulgaire pantin à un fil invisible. Le corps et la tête appuyés en équilibre pendant que l'esprit se repose et va à ses envies. Je n’eus le cœur de la réveiller, mais juste de me retourner souvent pour l'observer dormir, et m’assurai qu'elle dormait toujours, que son repos ne soit pas interrompu avant la fin du voyage. Sa tête et sa nuque, puis enfin ses épaules se tournèrent vers la droite, appuyé contre la vitre vibrant aux chocs et roulements du bus qui ne faisait pas en sorte de ménager ses occupants. Elle ne se réveilla tout de même pas aux multiples fois où le véhicule percutait des dos d'ânes, des creux dans le sol, des accélérations, ni même lorsqu'il ralenti.
Elle était calme.. Paisible, et cela me remplit le cœur aussi de plénitude, de satisfaction d'observer cette personne que je ne connaissa pas le moins du monde jusqu'à ce que le peu d'espace disponible me force à m'assoir à coté d'elle un peu plus tôt.
Et je me perdis à la contempler, regarder ce calme, en pensant à des mots, en écrivant, comme depuis il y a longtemps. Il faisait presque nuit noir au dehors, pas assez car l'on pouvait distinguer de gros nuages sombres et menaçants se profilant juste au dessus du véhicule. Il commençait aussi à faire froid, comme si l'hiver se faisait sentir, ce jour ci, cette nuit là. Et la nostalgie me prit.. D'une telle force que je ne pu résister, depuis ce matin où mes yeux se sont posé sur elle, cela me perturba. Ravivant en moi des souvenirs cruels dont j'aurais préféré ignoré l’existence, ou pouvoir avoir la force de la nier, la rejeter. Et le dégout se mêlant à la pure et si venimeuse violence qui parcourait désormais son sang comme un coulis de glace. La respiration s'amplifia à travers ses poumons et sa gorge, la bombant, la descendait tout doucement, se controlant corps et âme. La haine, l'envie de tuer venant à tout point, pourtant, l'on ne peut rien faire. L'on ne peut commetre un meurtre pour une si banale raison que la haine ou le mépris. L'ignorance était à ce moment là la seule arme utile et sage à utiliser.
Vint les souvenirs, les plus mémoirables, les plus nostalgiques et douloureux, si ils eurent trouvé une comparaison. Le regarde perdu loins dans ces nuages pesants, chargés de méchanceté sans nul égal encore. Tournant de nouveau vivement le regard vers ce visage endormie, regardant à nouveau la position que nous avions sur le GPS du téléphone, afin de pouvoir m'assurer du bon moment pour l'éveillé. Le temps du trajet semblait s'être allongé, que le temps paru s'éternisé ! Puis, la question vint à l'esprit, de comment la reveiller. Comment réveillé quelqu'un que l'on ne connait pas, mais que nous avons envie de poser sa propre tête contre son épaule glissé vers la droite? L'heure vint, je l'éveilla d'une légère secousse en agrippant son bras gauche, elle ouvrit alors les yeux en grands et me regarda.. Le charme s'éparpilla au loin, brisant toute cette poésie et lancitude.  




The ghost of you
Think of Me
Zombie



La malédiction fut jeté. Du haut du gouffre dans lequel notre être entier fut expulser, le monde, le reste, semble bien triste.

Je n'écrirai plus que rarement.. je me sens vide, ou pleine. Mais les mots se refusent à sortir, je me demande comment cela va se passer.. Va t elle dire ce que je peux redouté? Et ni même, qu'expliquer et pourquoi? Il n'y a plus d'utilité à le partagé. De toute façon, notre sort est déjà scellé.

2 octobre 2012

Skillet x Believe


Ce qui était attrayant, ce n'était pas ces personnages au visage anormal, ni même ces yeux immenses et vitreux qui ne reflétaient presque pas d'émotions. Mais s'était ce qu'il apportait, en soi. A apprendre.. A observer, à réfléchir. Sur la religion, ou plutot à proprement parler, l'église et ses paroles. Qu'elle te soutiendrait, que ses hommes sont des messagers de Dieu et qu'ils te préserveront du mal.. De la famille, qu'elle puisse être, à l'ancien age, plus stricte et moins indulgente, moins chaleureuse. Ou la signification des mots.


Alice & Zombie, II eme: Essai


En tant que visionneurs de ces pensés, malgré leur rareté, malgré qu'elles soient fugaces, stupides peut être, sans réellement sentiment quelconque, avant ça, il y a les doigts qui les tapent, le corps qui les pensent et les ressens..

Commencons par Alice, car dans l'histoire précédente, elle fut seule, ayant cru je ne sais quoi. Et Zombie mourru.. Et si, aujourd'hui, un des deux mourraient, ou peut être pas.. Et si cela n'avait il pas réellement d'importance? Je vous donne alors la réponse à cette question; non, ça ne l'est pas.
Et qu'est ce qui l'est, dans ce cas? Oh, beaucoup de choses.. Les rêves, les leçons que l'on en apprend, le sentiment qui en découle, pareil à un gateau dont le coulis à l'intèrieur fondrait.
Or ici, ca ne sera pas quelque chose de doux, je ne cherche même pas à modelé mes phrases, après tout, tant qu'elles me suffisent, à qui d'autres voudraient elles plaire?
Le reflet de tout ceci, apparaissant dans un grand lac bleuté, un décors récurrent, toujours le même.. Vivant et mourrant en un souffle, en une pensé.

Là et désormais, plus de questions sur l'avenir, le fil viendra, s'il souhaite venir..
J'arrête d'essayer de décrire des pensés et ressentis qui partent au fur et à mesure que le temps passe. An empty shell.

Quand..?

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