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Faith.
4 octobre 2012

x Ti voglio bene x IMWY - BFS x Last Dance - Dio


Celle que j'adore, à qui je vais affronté le regard compatissant, que diras tu? Que penseras tu dès ce moment? Déclareras tu quelque chose de déplaisant, sans aucun doute. La voix chargé de doutes, de peurs, de douleurs, et ne rien pouvoir y faire, être sans utilité pour une âme en douleur. Voir, des âmes en douleurs. Et tout autour du monde, et tout autour de nous, il n'y a plus que du vide. Comblé par des plaisirs sans lois, sans bien grand intérêt quelconque et particulier, mais toi et moi, on s'y raccroche. Que serait le monde s'il venait à gelé? A crever devant nous? Ririons nous, du haut de ce tas de pierres et de cendres, de ce tas de ruines qu'est devenu ce qui s’étend devant nos yeux désormais? Que ferions nous? Nous amuserions nous de ces cadavres au sol, éteint de vie et ruisselants de sang, de tripes morbides et diversifiés en taille?
Nous délecterions nous du passé que de trop glorieux que nous possédions, avant que tout ne s'écroule sous une décharge psychique? Qu"il n'emporte au loin tout ce qui nous été cher? Le regarderions nous avec des yeux embués de nostalgies en nous demandant à quel moment tout cela a dérapé? Est ce que se fussent nous qui avons pensé et songé au fait est que, rien n'est vraiment important, que rien ne mérite de vivre vraiment. Ces gens, ces paysages, ce monde.. Et alors, que ferions nous? Que faisons nous puisque nous en sommes à ce stade, ma bien aimé? Nous jetterions nous devant les rails d'un train en accélération, et nos corps qui sauteraient en tout sens, les os se brisants avec des bruits bruts et ingrats, dérangeants au plus haut point? Ou regarderions nous l'avancé du temps, le monde qui change, nous avec. Et nous n'avions pas prévu ça, ou si.. Nous l'avions faits, tant de fois.. Nous avions promis, et les promesses n'ont pas suffit à arrêter un barrage qui est en train de cédé à chaque seconde qui passe. Nous regarderions nous avec des yeux de comprises, en se disant que l'autre sait déjà, qu'on n'a pas besoin de le dire pour le savoir. Décelant le secret au creux du regard, là où l'âme peut se permettre de s'exprimer et de crier cette détresse de vivre, ce fardeau que l'on traine, et nous ramasse plus chaque jours encore.. Non.. Enfin oui, nous le ferons, comme à chaque fois, déballant nos secrets comme de pâles cadeaux de fêtes dont nous connaissons déjà l'amertume. Et l'on observera les montagnes qu'autrefois nous nous amusions à gravir, à l'aide de nos pieds et de nos mains, des genoux salis sous la boue des sables doux, reposants sous un ciel à demi voilé par des arbres et des murs aux allures titanesques.

Qu'avons nous raté alors? Quelle est cette étape que nous avons toutes deux manqué? Quel est ce putin de cœur qui ne nous appartiens pas, et que l'on nous a greffer contre notre gré? Qu'il ressente des douleurs, des souffrances qui nous donner le rire, nous allégé d'allégresse et nous donner des ailes? Ces ailes qui nous portait et nous crier ce que nous étions, éclatant la lumière solaire comme s'il ne fut qu'une pierre précieuse à moitier ensevelis sous des rocailleuses, jalousant ces rayons si lumineux.. Dis moi, que diras tu? Que ferons nous?
J'envie la mort, dis moi que ta folie est égale à la mienne, que nul moyen ne suffit à la calmer, à l'apprivoiser et l'endormir au fond de toi.. Dis moi que tu comprend, fait le moi lire dans tes yeux que je chéris, montre moi ton cœur déchiré de la réalité et de tes pensés qui le dépasse et laisse ton corps à l'état de poussière comparé à celles ci. Mon Dieu, ma seule et unique que je me hâte de voir, ne pouvant courir sur le fil du temps qui nous sépare encore de quelques heures, dis moi ce qui te préoccupe, qu'un poids se lève de toi et s'éloigne. Pitier, par pitier, laisse moi m'effondrer encore une fois, et pitier encore... Comme le mois dernier, où l’espoir s'est montré, dis moi encore que tu aimes que je m'effondre sur toi, que nous nous rattrapons mutuellement et que ce n'est pas de la misère ni du pathétisme. Oh je t'en prie, soi mon remède. L’égoïsme ne tue pas, mais te le dire me soulage tant.. Pour un moment, avant que cela ne revienne pire encore, et me donne envie de mourir au plus tôt comme si rien ne fut. Celle que j'aimais, dis moi encore ces belles choses qui font battre le cœur, l'aide à tenir, font monté les larmes aux yeux, je t'en pris.. Crie encore si cela peut te défoulé, pleure même si tu le veux. Ta peine est ma peine, et même si pendant des années nous nous sommes éloignés, n'est pas peur du temps qui à passés, ne le redoute pas car il ne touchera jamais à ce que nous avons batis et les promesses que nous nous sommes faites. Ou si, mais.. Elles sont devenus plus spirituelles. A toi à qui j'adresse les mots et ne le saura jamais, sauf à travers le regard, lis la détresse qui s'y dessine. Lis moi comme un livre que tu aurais voulu lire et déchiffrer.
Peux tu empêcher le soleil de se lever? Peux tu prier avec moi la lune qui devrait resté seule reine du monde et du ciel.
Dis moi, essayeraient ils de te donner l'envie de vivre, et toi, comment réagis tu? Toi aussi, ne leurs réponds tu donc rien? Car ils ne comprendraient pas, au fond, qui le pourraient, sauf toi? On est les mêmes. On partage un cœur.
Dis moi encore, raconte moi ce que nous fûmes par le passé.. Laisse moi encore dormir à tes coté pour ce soir, que lorsque nous nous éveillerons, le monde semblera plus beau que dans nos souvenirs, plus éclatant, plus souriant et plus beau que ce qu'il semble être maintenant.
Je dois sans doute me leurrer, je dois sans doute perdre la raison, ou être que trop morte. Mais je ne peux m’empêcher de me poser ces questions, j'espère que tu n'es pas tombé aussi bas que je le suis. Donne moi une raison de vivre possible et enjoué. Fais tu des confessions en ayant encore le cœur fragile, en te disant que ce n'est rien.?
J'hésite à t'envoyer un message, de te dire que j'ai aussi besoin d'aide, qu'un psy ne fera rien, par expérience.. et que ta folie attise la curiosité et l'inquiétude. Et te dire aussi que cette fois, c'est sérieux et que ce n'est pas quelque chose qui semble compréhensible et curable. Dis moi que nous ne sommes pas condamnés. Rassure moi, je te rassurerais. Mes bras seront ton refuge, mes yeux pleureront pour toi, je te le promet, et ces larmes silencieuses sécheraient dans le vent d'octobre. Et ce vent qui rafraichit tant..
Je veux te voir et t'entendre, te serrer et se fondre ensemble pour complété notre douleur.
Et te rappelles tu de cette chanson que je t'ai envoyer aux environs de avril-mai 2010? Te rappelles tu cette détresse, ce manque qui laisse encore cet arrière gout de passé et de sécheresse d'un cœur en trop mal de vivre ?
Te rappelles tu de ce que nous nous sommes dis? "Can I close my eyes have you lying here again".. Que nous nous quitterions jamais? Peux tu encore me dire que c'est le cas encore aujourd'hui? Je ne suis pas humaine à pouvoir dormir paisiblement lorsque les autres le peuvent. Je me contente alors de vous regarder dormir, vagué à vos doux rêves, les yeux clos.. En vous enviant de pouvoir le faire aussi. Dis moi.. Jess.. Celle qui est si loin.. Peux tu guérir les maux? Que tout ces mots et ces faits ne sont pas resté invisible..? Dis moi qu'ils ont trouvé écho en quelque part ou quelqu'un, que quelqu'un a pu comprendre tout ceci. Dis moi que tu comprend, car je ne comprend pas moi même..

" Je perd en soupire la moitier de la nuit, je somnole, je m'éveille, je me languis.." Tennyson.



Alice In Wonderland:


Sa longue robe d'un rouge sanguins, de pourpre et de douceur s'élevait au rythme de ses pas, de sa course folle vers un endroit sauf. Le monde semblait murmurait, tout autour d'elle, tentant de s'éloigner de ces murmures devenus assourdissants, qui ne semblaient que s'amplifié à mesure qu'elle fuyait vers l'inconnu macabre. Elle ne pouvait discerné par exactitude ce qu'ils disaient, ce qu'ils pouvaient s'échangé comme paroles, mais elle ne pouvait le supporter, cela devenait comme un son hypnotique qui la rendait folle. Ses yeux se brouillaient, roulants dans leurs orbites à une vitesse fulgurante, rendant le terrain tout autour flou, indiscernable. Ni la pleine lune s’annonçant au loin, belle et solitaire, fière et nostalgique..  Ni les arbres morts l'entourant comme des abandonnés de guerres au combat.
Le cœur grelottant de froid, habitant une peur inhabituel, elle accéléra le rythme de ses foulés, devenant incertaine, redoutant de tombé par la suite, mais il fallait qu'elle se sauve.
Sa robe se déchira maintes et maintes fois, peu lui importait, elle craignait pour sa vie.. Mais avant de vous raconter cela à la troixieme personne, pourquoi ne pas visiter le personnage..?

"Ou suis je..?"
Ce fut la première question que se posa Alice la troisième, aux pieds d'un auré plus que redoutable. Le tronc des arbres que je peux voir sont déjà abimés, ils sont morts, pourtant, ils se tiennent encore debout et m’effraie. Pourquoi m'effrayeraient ils?
Regardant à droite, je ne peux distinguer que de l'obscurité, des nappes de nuages brumeuses environnant ce vaste cimetière, et je ne peux retrouver mon chemin.. Pourquoi suis je là? Qu'en est là raison? Vais je mourir..?


Outward :


En l'observant les yeux fermés, emporté par le sommeil, semblant si doux et si paisible sur ce fin petit visage,  pouvais peut être connaître des rêves lourds et durs. Mais, peut être tout simplement qu'elle ne rêva pas, car quelques minutes avant de me réveiller à ses cotés, je dormi d'un sommeil si similaire, que je ne me souvins pas m'être endormie, ni même avoir rêver. Juste un long sommeil pesant et lourd, hypnotique et entrainant, ne pouvant être repoussé. Et elle devait peut être dormir de ce sommeil ci, ayant du avoir une journée longue et fastidieuse. Son t shirt marin la grossissait, assise ainsi, mais je n'en tenais aucune importance, ni à ce moment ci d'ailleurs. Alors, le corps et l'inconscient s'éveillent, se relâchent et laissent tomber sa tête comme si elle fut trop lourde à supporter, puis ils se maintinrent, relevant brusquement la tête vers le haut, comme si elle fut accrocher comme un vulgaire pantin à un fil invisible. Le corps et la tête appuyés en équilibre pendant que l'esprit se repose et va à ses envies. Je n’eus le cœur de la réveiller, mais juste de me retourner souvent pour l'observer dormir, et m’assurai qu'elle dormait toujours, que son repos ne soit pas interrompu avant la fin du voyage. Sa tête et sa nuque, puis enfin ses épaules se tournèrent vers la droite, appuyé contre la vitre vibrant aux chocs et roulements du bus qui ne faisait pas en sorte de ménager ses occupants. Elle ne se réveilla tout de même pas aux multiples fois où le véhicule percutait des dos d'ânes, des creux dans le sol, des accélérations, ni même lorsqu'il ralenti.
Elle était calme.. Paisible, et cela me remplit le cœur aussi de plénitude, de satisfaction d'observer cette personne que je ne connaissa pas le moins du monde jusqu'à ce que le peu d'espace disponible me force à m'assoir à coté d'elle un peu plus tôt.
Et je me perdis à la contempler, regarder ce calme, en pensant à des mots, en écrivant, comme depuis il y a longtemps. Il faisait presque nuit noir au dehors, pas assez car l'on pouvait distinguer de gros nuages sombres et menaçants se profilant juste au dessus du véhicule. Il commençait aussi à faire froid, comme si l'hiver se faisait sentir, ce jour ci, cette nuit là. Et la nostalgie me prit.. D'une telle force que je ne pu résister, depuis ce matin où mes yeux se sont posé sur elle, cela me perturba. Ravivant en moi des souvenirs cruels dont j'aurais préféré ignoré l’existence, ou pouvoir avoir la force de la nier, la rejeter. Et le dégout se mêlant à la pure et si venimeuse violence qui parcourait désormais son sang comme un coulis de glace. La respiration s'amplifia à travers ses poumons et sa gorge, la bombant, la descendait tout doucement, se controlant corps et âme. La haine, l'envie de tuer venant à tout point, pourtant, l'on ne peut rien faire. L'on ne peut commetre un meurtre pour une si banale raison que la haine ou le mépris. L'ignorance était à ce moment là la seule arme utile et sage à utiliser.
Vint les souvenirs, les plus mémoirables, les plus nostalgiques et douloureux, si ils eurent trouvé une comparaison. Le regarde perdu loins dans ces nuages pesants, chargés de méchanceté sans nul égal encore. Tournant de nouveau vivement le regard vers ce visage endormie, regardant à nouveau la position que nous avions sur le GPS du téléphone, afin de pouvoir m'assurer du bon moment pour l'éveillé. Le temps du trajet semblait s'être allongé, que le temps paru s'éternisé ! Puis, la question vint à l'esprit, de comment la reveiller. Comment réveillé quelqu'un que l'on ne connait pas, mais que nous avons envie de poser sa propre tête contre son épaule glissé vers la droite? L'heure vint, je l'éveilla d'une légère secousse en agrippant son bras gauche, elle ouvrit alors les yeux en grands et me regarda.. Le charme s'éparpilla au loin, brisant toute cette poésie et lancitude.  




The ghost of you
Think of Me
Zombie



La malédiction fut jeté. Du haut du gouffre dans lequel notre être entier fut expulser, le monde, le reste, semble bien triste.

Je n'écrirai plus que rarement.. je me sens vide, ou pleine. Mais les mots se refusent à sortir, je me demande comment cela va se passer.. Va t elle dire ce que je peux redouté? Et ni même, qu'expliquer et pourquoi? Il n'y a plus d'utilité à le partagé. De toute façon, notre sort est déjà scellé.

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